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L’essentiel pour comprendre la candidature exceptionnelle de la Tour Eiffel

Contact : carelle.moukemaha@sciencespo.fr

Tour Eiffel, Une icône française, une révélation universelle : le comité d’exception qui veut l’inscrire à l’UNESCO

De François Hollande à Dassault, de Citroën à Coubertin, en passant par les familles Eiffel, Rothschild, Peugeot, Picasso, Malraux et de Lesseps : un Comité d’honneur sans précédent se mobilise pour faire entrer la Tour Eiffel au patrimoine mondial.

Portée par Philippe Coupérie-Eiffel, descendant direct de Gustave Eiffel, accompagné du Cercle d’Études Scientifiques Pierre Rayer, cette candidature dévoile une lecture nouvelle de la Tour, entre science, mémoire et sagesse antique. Objectif : faire reconnaître sa dimension immatérielle et universelle.


Un héritier visionnaire pour un message intemporel

À l’origine de cette initiative, Philippe Coupérie-Eiffel incarne une génération de passeurs : non seulement il défend la mémoire de son illustre ancêtre, mais il y ajoute une profondeur nouvelle. Pour lui, la Tour Eiffel n’est pas simplement une prouesse technique du XIXe siècle, c’est un message d’unité, d’élévation et de transmission.

Avec sa famille, Philippe Coupérie-Eiffel a officiellement missionné le Cercle d’Études Scientifiques Pierre Rayer pour conduire une recherche scientifique inédite selon la méthode Universæ Analysis, qui combine géométrie, égyptologie, mathématiques, physique et intelligence artificielle. Cette méthodologie a été présentée sous le haut patronage du Président Emmanuel Macron, au ministère de l’Économie et des Finances lors de Vision Golfe 2024.

Une révélation symbolique : la tour Eiffel entre le Sphinx et l’Obélisque

Lors d’une rencontre au ministère de la Culture, une image saisissante dans les mains de la Ministre Rachida Dati : à gauche, le Sphinx de Gizeh couronné par l’Obélisque de Louxor. Superposés, ils forment la silhouette exacte de la Tour Eiffel.

Cette découverte, issue des travaux du CESR, révèle que la Tour incarne la synthèse moderne de deux symboles millénaires :

  • Le Sphinx, gardien de la connaissance et de la mémoire,
  • L’Obélisque, colonne solaire tournée vers l’absolu.

La Tour Eiffel se dresse ainsi comme un axe vertical entre terre et ciel, entre passé et futur, entre science et spiritualité.

Une histoire franco-égyptienne dès l’origine

Ce lien n’est pas qu’une vision symbolique. Le financement de la tour Eiffel fut orchestré à la fin du XIXe siècle par la Banque franco-égyptienne, dirigée par Albert Rostand. C’est lui qui convainquit BNP Paribas et la Société Générale de rejoindre le projet.

L’Égypte n’a pas seulement inspiré la Tour : elle l’a rendue possible. Cette filiation culturelle et économique donne encore plus de sens à sa candidature à l’UNESCO, comme symbole de l’union des civilisations.

Une valeur économique et culturelle sans précédent

Selon la Chambre de commerce de Monza et Brianza, la tour Eiffel est évaluée à 434 milliards d’euros, soit près de 20 % du PIB français. Elle devance de loin ses homologues européens :

  • Le Colisée : 91 milliards €
  • La Sagrada Familia : 90,4 milliards €
  • Le Dôme de Milan : 82 milliards €
  • La Tour de Londres : 70 milliards €

Dans les milieux économiques, certains experts estiment que cette valeur pourrait être encore largement rehaussée au regard de l’impact culturel, scientifique et touristique du monument, qui ne cesse de croître.

Les valeurs de Gustave Eiffel au cœur de la candidature

Philippe Coupérie-Eiffel et le comité s’accordent : inscrire la tour Eiffel à l’UNESCO, c’est honorer les valeurs fondatrices de Gustave Eiffel :

  • La foi dans la science et le progrès partagé,
  • La transmission des savoirs entre civilisations,
  • L’harmonie entre technique et beauté,
  • La quête du bonheur universel par la connaissance.

La Tour devient ainsi un trait d’union entre Orient et Occident, entre mémoire et avenir, entre matière et esprit.

Un Comité d’honneur à la hauteur de l’Histoire

Jamais un tel rassemblement de figures n’avait porté une candidature patrimoniale. Le comité compte notamment :

  • François Hollande, ancien Président de la République,
  • Jean-Paul Agon, président du conseil d’administration de L’Oréal,
  • Laurent Dassault, homme d’affaires,
  • Bertrand Besancenot, diplomate,
  • Henri-Jacques Citroën, vice-président de l’ADIT,
  • Wided Bouchamaoui, Prix Nobel de la Paix,
  • Rodolphe Peugeot, Martin Rey-Chirac, Alexandra de Coubertin, Elie de Rothschild, Yves Lehen Vuitton, Patrick de Lesseps, Alexis Rostand, et plus de 60 personnalités issues de l’histoire, de l’industrie, de l’art et de la diplomatie.

Philippe Coupérie Eiffel, S.E.M Al Ruwaili ambassadeur du Royaume d’Arabie Saoudite en France, Thierry Rayer


Vers une reconnaissance mondiale

Comme le résume Philippe Coupérie-Eiffel :

« La Tour Eiffel est bien plus qu’un symbole national. Elle est un pont entre les époques, les cultures et les savoirs. Elle mérite d’être reconnue comme un héritage vivant de l’humanité. »

Une démonstration exclusive de ses dimensions immatérielles et scientifiques seront dévoilées à l’UNESCO, première étape vers une candidature au patrimoine immatériel de l’UNESCO.

Conclusion : un trésor universel à transmettre

La Tour Eiffel n’est pas qu’un monument de fer. Elle est un signal, un message, une source d’inspiration pour les générations futures.

Cette candidature est une opportunité unique pour la France : unir patrimoine, innovation, diplomatie, économie, et connaissance pour inscrire la Tour dans l’éternité des peuples.

 

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